Définir les mobillités de demain en Île-de-France
14/09/2018
Alors que les façons classiques de se déplacer sont remises en cause par les innovations technologiques, la mobilité est un enjeu central des modes de vie contemporains, en particulier dans les métropoles. De la marche à pied au covoiturage, en passant par les transports publics et le vélo, ces évolutions favorisent une intermodalité qui brouille la frontière entre déplacements collectifs et individuels et obligent à repenser les relations entre la puissance publique, les acteurs privés et les citoyens.
A l’heure de la construction du métro Grand Paris Express, l’Île-de-France est particulièrement concernée par ces interrogations du fait de l’importance de sa population et de son réseau de transports routiers et collectifs. Ce d’autant plus qu’elle accueillera de grands événements au cours des années à venir : Coupe du monde de rugby en 2023 et Jeux olympiques et paralympiques de 2004.
Allier mobilité et qualité de l’environnement
Dans ce contexte, une réflexion collective est indispensable pour que les évolutions des techniques et des usages permettent de fluidifier les mobilités pour chacun tout en participant à la préservation et à l’amélioration de la qualité de l’environnement, ce qui sera crucial pour l’attractivité de la première métropole européenne.
C’est cette réflexion qui est menée dans la dernière édition des Cahiers de l’Institut d’aménagement, « La vie mobile : se déplacer demain en Île-de-France ». Bruitparif y a notamment contribué, puisque les moyens de se déplacer de demain ne devront pas seulement être sobres en énergie et respectueux de la biodiversité et paysages franciliens : ils doivent aussi être pensés pour contribuer à un meilleur environnement sonore, une des clés pour protéger la santé des Franciliens.
Pour aller plus loin :
